
11 étapes indispensables pour un ClincCheck parfait
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Le succès d’un traitement par aligneurs repose sur une planification rigoureuse. Une fois les empreintes du patient envoyées, la malocclusion diagnostiquée et le plan de traitement établi, le clinicien transmet une prescription au technicien. Celui-ci génère alors une simulation des mouvements dentaires via ClinCheck.
Cette étape est cruciale, car un ClinCheck mal validé peut entraîner des échecs cliniques, des finitions (refinements) inutiles et une insatisfaction des patients. C’est pourquoi il est essentiel de suivre une méthodologie précise pour s’assurer que chaque détail du traitement est optimisé.
Sommaire
- Vérification de l’occlusion initiale
- Consultation de l’onglet des commentaires
- Analyse de la position finale
- Vérification du nombre d’étapes du traitement
- Évaluation dynamique du ClinCheck
- Analyse des vues occlusales
- Utilisation de l’outil de superposition
- Analyse du Tooth Movement Assessment (TMA)
- Vérification des taquets
- Vérification du stripping (IPR)
- Vérification des precision cuts
1. Vérification de l’occlusion initiale

Avant d’approuver le ClinCheck, il est essentiel de comparer la simulation avec les photographies du patient afin de s’assurer que l’occlusion initiale est bien représentée.
- Comparer la simulation avec les photos intraorales et le sourire du patient.
- Si un enregistrement occlusal a été réalisé, vérifier que l’occlusion correspond bien à la réalité clinique.
- Si la position initiale du ClinCheck ne reflète pas celle du patient, fournir de nouvelles photos.
- Analyser l’occlusion sous différents angles :
- Vue antérieure
- Vues latérales droite et gauche
- Vue du surplomb antérieur
Il est également crucial de repérer :
- Les incisives présentant une récession gingivale. Dans ce cas, éviter leur version et privilégier le stripping en début de traitement pour éviter le round-tripping (mouvement de va et viens de la dent).
- Les implants dentaires : ils ne doivent pas être déplacés par l’aligneur. Demander au technicien d’exclure ces dents du plan de traitement
- Couper la gencive artificielle 3 mm vers l’occlusal pour éviter une sur-rétention de l’aligneur.

Une bonne validation de l’occlusion initiale garantit que le plan de traitement repose sur des bases solides et évite les ajustements inutiles en cours de traitement.
2. Consultation de l’onglet des commentaires
L’onglet des commentaires est un élément clé du ClinCheck. Il permet au technicien de communiquer avec le praticien et de signaler d’éventuels problèmes ou ajustements nécessaires avant la validation du traitement.
Que contient cet onglet ?
Le technicien y renseigne des observations importantes :
- Problèmes d’empreinte ou de scan : Si certaines dents distales ne sont pas bien enregistrées à cause des tissus mous, le technicien peut recommander de reprendre les empreintes ou d’enlever l’excès de tissu.
- Distorsions d’empreinte : Une mauvaise empreinte peut affecter la couverture des aligneurs. Il est essentiel de s’assurer que les empreintes sont bien réalisées pour éviter tout problème d’ajustement.
- Demande de précisions sur le plan de traitement : Si la prescription n’indique pas clairement la méthode pour corriger une Classe II (distalisation, mesialisation, avancement mandibulaire ou IPR), le technicien demandera des précisions.
- Remarques sur les attachements et precision cuts : Le technicien peut suggérer des ajustements sur leur placement pour optimiser leur efficacité.
Pourquoi est-ce important ?
Une mauvaise communication peut entraîner :
- Un ClinCheck qui ne respecte pas les objectifs cliniques.
- Des ajustements en cours de traitement, prolongeant la durée du traitement.
- Un manque de précision dans la planification, pouvant compromettre le résultat final.
Que faire en cas de problème ?
- Analyser les remarques et y répondre clairement.
- Prendre une nouvelle empreinte si nécessaire.
- Préciser chaque étape du plan de traitement pour éviter des erreurs d’interprétation.
Un ClinCheck bien validé dès le départ réduit les fintions et assure une meilleure prévisibilité du traitement.
Dans nos prochains articles ont vous expliquera comment faire des prescriptions type par cas clinique !
3. Analyse de la position finale
Avant de valider le ClinCheck, il est essentiel de vérifier que la configuration finale de l’occlusion respecte les objectifs du traitement.
Une mauvaise finalisation peut entraîner des déséquilibres occlusaux ou des récidives. À cette étape, il est recommandé de comparer le ClinCheck avec la radiographie panoramique pour s’assurer que les inclinaisons radiculaires ont été corrigées.
Vérifications clés selon les vues

Vue antérieure
- Alignement des milieux inter-incisifs (maxillaire et mandibulaire).
- Contrôle du tipping des incisives et de leur alignement esthétique.
- Évaluation de l’overbite recouvrement et de la forme de l’arcade.
- Analyse des corridors buccaux pour assurer une esthétique harmonieuse. Surtout dans les cas ou le patient cherche un sourire plus large.
Vue du surplomb antérieur

- Vérification de l’overjet et des contacts occlusaux.
- Comparer l’overjet des canines droite et gauche pour garantir une symétrie.
Vues latérales (droite et gauche)

- Contrôle du torque incisif et de l’angle interincisif.
- Vérification des rapports canins et molaires en classe I.
- Analyse de l'absence d'articulé inversé. En général invisalign ne corrige pas correctement ce type de cas il faut utiliser des techniques hybrides.
Vues occlusales

- Contrôle de la symétrie des arcades maxillaire et mandibulaire.
- Évaluation de la forme des arcades et de l’alignement.
- Vérification des crêtes marginales et des fosses centrales.
Vue postérieure

- Analyse des rapports cuspide-fosse.
- Vérification du torque bucco-lingual des dents postérieures.
Une validation minutieuse de la position finale permet de garantir un résultat fonctionnel et esthétique optimal, minimisant le risque de finitions et d’ajustements post-traitement.
4. Vérification du nombre d’étapes du traitement
Le nombre total d’aligners est indiqué sur une barre située en bas de l’écran du ClinCheck. Chaque type d’aligneur est représenté par une couleur spécifique (c'est différent en fonction des marques, mais dans l'ensemble c'est pareil) :
- Aligners actifs : bleu
- Aligners passifs : bleu clair
- Aligners de surcorrection : marron
Il est essentiel de vérifier si la correction prévue est en adéquation avec le nombre d’étapes :
- Si le plan de traitement repose sur l’utilisation d’élastiques, il faut s’assurer qu’il y a suffisamment d’aligneurs pour permettre la correction complète.
- Si la correction implique une avancée mandibulaire (MA), un minimum de 25 à 30 aligneurs est nécessaire pour garantir une progression efficace.
Un nombre insuffisant d’étapes peut compromettre la correction et nécessiter des finitions supplémentaires.
5. Évaluation dynamique du ClinCheck

Cette phase est essentielle : il faut jouer l’animation et analyser chaque mouvement dentaire du début à la fin du traitement.
Que faut-il vérifier ?
- Quels dents bougent à chaque étape (via l’onglet de scénario).
- Quels mouvements prolongent la durée du traitement.
Si certaines dents mettent plus de temps à se déplacer, il est possible d’optimiser le traitement :
- Effectuer le stripping plus tôt pour réduire l’encombrement.
- Limiter certains mouvements trop complexes.
- Reporter le déplacement de certaines dents à la fin du traitement surtout dans les protocoles esthétic first.
- Intégrer des techniques auxiliaires pour faciliter certains mouvements.
Pour une analyse complète, la simulation doit être examinée sous plusieurs angles : frontal, latéral droit et gauche, occlusal maxillaire et mandibulaire.
En validant ces paramètres, le praticien s’assure d’un traitement prévisible et optimal.
6. Analyse des vues occlusales
La revue des vues occlusales est une étape essentielle pour s’assurer que les mouvements dentaires sont bien planifiés et réalisables. À cette étape, plusieurs éléments doivent être vérifiés :
Points clés à analyser

- Expansion symétrique ou asymétrique : Déterminer si l’élargissement de l’arcade doit être uniforme ou différencié entre les côtés.
- Version des incisives : Définir les limites antéro-postérieures en fonction du tissu parodontal et de la position initiale.
- Espace disponible : Ne pas déplacer une dent sans avoir créé suffisamment d’espace. Les latérales et les secondes prémolaires en position linguale nécessitent d’abord une expansion mésio-distale.
- Attachements d’ancrage : Placer des points d’ancrage pour stabiliser certains mouvements, par exemple pour niveler la courbe de Spee. Comme sur la photo au-dessus.
- Ancrage différentiel : Analyser les vecteurs de force pour optimiser la séquence de mouvement.
Mouvements simultanés
Certains mouvements peuvent être réalisés simultanément :
- Expansion + rétraction des incisives : Ces deux mouvements peuvent être combinés pour maximiser l’efficacité.
- Expansion + correction des rotations (canines, prémolaires et molaires).
- Correction d’une Classe II : L’intrusion, la rétraction et le torque radiculaire lingual des incisives peuvent être combinés.
Mouvements séquentiels
Certains mouvements ne doivent pas être effectués simultanément sous peine de compromettre l’ajustement des aligneurs :
- Expansion "en masse" et vestibuloversion des incisives : Si l'expansion n'est pas obtenue par une modification du torque mais par une expansion par translation, il faut éviter de réaliser ces deux mouvements simultanément. Il est préférable d'élargir d'abord, puis d'incliner les dents vestibulairement.
- Expansion et distalisation : En cas d’articulé croisé postérieur, corriger le crossbite en premier avec expansion et élastiques croisés avant de distaliser.
- Expansion asymétrique : Si le torque diffère des deux côtés, utiliser le côté stable comme ancrage et ne déplacer que le côté à corriger.
- Classe II subdivision : Utiliser le côté en classe I comme ancrage pour corriger le côté en classe II, puis déplacer les deux côtés ensemble une fois la classe I bilatérale obtenue.
- Rotation et extrusion des incisives latérales : Corriger la rotation avec une attache multiplan avant d’extruder avec une attache horizontale biseautée vers la gencive.
- Correction de la supraclusion avec torque négatif : Appliquer un torque vestibulaire des couronnes avant toute intrusion, puis finaliser avec rétrusion et torque lingual radiculaire.

Rotation et bascule des incisives

Lorsque les incisives nécessitent à la fois une rotation et un mouvement de bascule (tip mésial ou distal), ces déplacements doivent être séquencés pour garantir une bonne adaptation des aligneurs.
- Étape 1 : Demander une rotation mésiale vers l’extérieur tout en vestibuloversant l’incisive.
- Étape 2 : Réaliser un stripping entre l’incisive centrale et latérale pour libérer l’espace nécessaire à la rétraction.
- Étape 3 : Demander une intrusion et une rétraction en appliquant un tip mésial de la couronne avec une rotation distale vers l’intérieur.
Une attention particulière doit être portée à l’intrusion asymétrique des incisives centrales supérieures. Pour conserver une ligne incisale régulière, il est conseillé de demander un déplacement simultané des deux incisives centrales.
Rotation et bascule des canines

Rotation et bascule des canines : Comme pour les incisives, réaliser ces deux mouvements simultanément peut entraîner un mauvais ajustement de l’aligneur sur les canines. Pour garantir un mouvement prévisible, il est nécessaire de les séquencer :
- Étape 1 : Effectuer une rotation distale vers l’extérieur tout en appliquant un torque vestibulaire de la couronne.
- Étape 2 : Réaliser un stripping de 0,3 mm entre l’incisive latérale et la canine pour créer l’espace nécessaire à la rotation mésiale. Voir même stripping adjacent sur la prémolaire ou les incisives, tout dépend de l'encombrement.
- Étape 3 : Demander une rotation mésiale vers l’intérieur avec un tip radiculaire mésial et un tip corono-distal de 10°.
Mouvements réciproques
Ces déplacements peuvent être réalisés simultanément pour améliorer l’efficacité du traitement. Le système ne les propose pas automatiquement et leur utilisation dépend des préférences du praticien. On les appelle aussi mouvements antagonistes.
Extrusion de la canine supérieure et intrusion de l’incisive latérale supérieure
Il est fréquent d’observer des canines supérieures ectopiques en éruption en haute et des incisives latérales extrudées, entraînant un articulé croisé antérieur.
Compression molaire et protrusion incisive simultanées
Très utile pour corriger les articulés croisés antérieurs. Ce phénomène, appelé effet “collier de perles”, illustre comment la compression des molaires et prémolaires entraîne un déplacement vers l’avant des incisives, à l’image d’un collier dont l’arrière est resserré sur une table.
Mésialisation molaire + rétraction incisive
La mésialisation postérieure est peu prévisible, mais peut être optimisée en la combinant avec la rétraction des incisives.
Corriger simultanément les milieux inter-incisifs
Les mouvements transversaux doivent être évités pendant la rétraction ou la proinclinaison des incisives.
Extrusion prémolaire + intrusion incisive
Pour niveler la courbe de Spee, ces mouvements doivent être réalisés simultanément, surtout chez les patients hypodivergents en croissance.
7. Utilisation de l’outil de superposition

L’outil de superposition permet de comparer la situation pré-traitement avec la position finale des dents. Il offre une vision claire des déplacements effectués et permet d’identifier d’éventuels mouvements excessifs ou non souhaités.
Vérifications essentielles
- Proinclinaison et rétraction des incisives : Confirmer que l’angulation finale respecte les limites parodontales.
- Expansion de l’arcade : Vérifier si la largeur obtenue est harmonieuse et fonctionnelle.
- Round-tripping (va et viens) : Éviter les déplacements inutiles qui allongent le traitement.
- Distalisation ou mésialisation des molaires : Confirmer un ancrage stable et éviter les pertes d’efficacité.
- Intrusion et extrusion des incisives : Assurer un équilibre occlusal optimal.
Une superposition bien analysée permet d’ajuster les mouvements pour optimiser la prédictibilité du traitement.
8. Analyse Evaluation des mouvements dentaires (EMD)

Le Tooth Movement Assessment (TMA) ou EMD en français est un outil du ClinCheck qui classe les mouvements dentaires en trois niveaux de difficulté :
- Facile (aucune couleur) : Mouvements réalisables sans difficulté.
- Modéré (point bleu) : Mouvements réalisables avec une bonne planification.
- Avancé (point noir) : Mouvements nécessitant des techniques auxiliaires.
Optimiser la prédictibilité
Si certaines dents présentent des mouvements avancés, plusieurs stratégies peuvent être adoptées :
- Réduire l’amplitude des mouvements pour les rendre plus prévisibles.
- Ajouter des attachements pour améliorer le contrôle du déplacement.
- Utiliser des techniques auxiliaires comme des élastiques, des boutons ou des TADs.
Par exemple, si un deuxième molaire maxillaire doit être extrudé mais que son homologue mandibulaire ne s’intrude pas correctement, cela peut créer une interférence postérieure et un open bite buccal. La solution consiste à ajuster le plan de traitement pour minimiser ces déplacements et renforcer l’efficacité du traitement.
Une bonne gestion du TMA assure un traitement plus fluide et réduit le besoin de refinements.
9. Vérification des taquets

Le logiciel place automatiquement des taquets pour améliorer la précision des mouvements d’intrusion, de rotation et de bascule coronaire. Toutefois, certains cas nécessitent une adaptation spécifique par le praticien.
Quand le logiciel ne place pas d’attachement automatiquement
- Attachements horizontaux biseautés : Sur les prémolaires et molaires en cas d’expansion sévère, pour maintenir le torque radiculaire et éviter le basculement vestibulaire.
- Attachements rectangulaires : Sur les dents à couronnes courtes, afin d’augmenter la rétention des aligneurs lors des mouvements antero-postérieurs.
- Attachements d’ancrage : Nécessaires dans les cas de deep bite pour stabiliser les prémolaires et éviter une intrusion excessive des molaires.
Une bonne sélection et position des attachements garantissent une meilleure efficacité du traitement et limitent les ajustements en cours de route.
10. Vérification de l’IPR Stripping (Interproximal Reduction)

L’IPR doit être minutieusement vérifié en ce qui concerne sa quantité, localisation et séquence.
Quantité
- Patients jeunes : Limiter l’IPR pour préserver l’émail.
- Patients adultes : Utiliser l’IPR pour fermer les triangles noirs et optimiser l’alignement des racines.
- Cas de protrusion maxillo-mandibulaire : Un IPR plus important permet une meilleure rétraction.
- Cas de deep bite / supra : Moins d’IPR pour favoriser la version incisive et faciliter l’ingression relative.
Localisation
Le logiciel répartit l’IPR sur les points de contact en fonction du chevauchement dentaire. Par exemple, si 0,4 mm est nécessaire entre 3.2 et 3.3 :
- 0,2 mm peut être réalisé sur chaque dent.
- Ou bien, si l’émail canin est plus épais, effectuer 0,4 mm uniquement sur celui-ci.
Timing
Le logiciel aligne d’abord les dents avant de proposer l’IPR, mais en cas de :
- Round-tripping excessif, planifier l’IPR plus tôt.
- Limite parodontale, re-stager et privilégier un IPR postérieur.
Un bon contrôle de l’IPR optimise l’espace et prévient les ajustements inutiles.
11. Vérification des precision cuts

Les precision cuts sont utilisés pour intégrer des élastiques intermaxillaires dans le plan de traitement. Leur positionnement doit être soigneusement planifié pour garantir une efficacité maximale sans compromettre d’autres paramètres.
Quand ajouter des precision cuts ?
Notre conseil est de les placer soit même !
Il n’est pas recommandé d’ajouter des precision cuts dès la prescription initiale, car cela pourrait empêcher le logiciel et surtout le technicien de placer les attachements optimisés nécessaires aux mouvements dentaires. Il est préférable d’attendre la deuxième évaluation du ClinCheck pour :
- Déterminer si un attachement optimisé est nécessaire ou si un precision cut peut être priorisé.
- Positionner correctement les hooks (crochets) et boutons pour les élastiques de Classe II ou III.
Types de precision cuts
Hooks
- Classe II : Placés sur les canines supérieures.
- Classe III : Placés sur les canines inférieures.
- Ils peuvent être modifiés selon les préférences cliniques.
Button Cutouts
- Classe II : Placés sur les premières molaires inférieures.
- Classe III : Placés sur les premières molaires supérieures.
- Peuvent être placés en vestibulaire ou en lingual selon le besoin.
Compatibilité des precision cuts et des attachements optimisés
- Les attachements de contrôle radiculaire peuvent être modifiés pour inclure des precision cuts.
- Les precision cuts peuvent coexister avec les attachements de rotation, extrusion et ancrage si l’espace le permet.
- Si un precision cut et un attachement optimisé sont en conflit, l’attachement est généralement priorisé.
Une planification soignée des precision cuts permet d’optimiser l’efficacité des élastiques et d’assurer un meilleur contrôle des mouvements dentaires.
Conclusion
La validation d’un ClinCheck ne se limite pas à une simple acceptation des mouvements proposés par le logiciel. Chaque étape doit être minutieusement analysée pour garantir un traitement prévisible, efficace et éviter les ajustements inutiles. En appliquant une méthodologie rigoureuse, le praticien maximise les chances d’un résultat optimal, tant sur le plan fonctionnel qu’esthétique.